« Quand on remonte la pittoresque vallée de Louzom, après avoir dépassé Arthez-d’Asson, à quelque distance du vaste enclos qui entoure le château d’Angosse, on aperçoit à gauche, sur le bord de la route de Ferrières, une modeste maison qui, avec ses pignons en escaliers, présente quelques particularités architecturales de caractère ancien : sur le linteau de la porte, on lit une vieille inscription en béarnais et un millésime. C’est la maison Lareu [...] »
À Arthez-d’Asson, la « maison Lareu », est restée dans les mémoires comme la « maison du crime » – le « crime des seize » – l’assassinat de l’abbé de Sauvelade et de son aumônier. Ce crime, perpétré en 1663, est ainsi contemporain de la reconstruction de la forge d’Asson et du passage de la forge navarraise à la forge dite à la catalane en vallée de l’Ouzom.
Les récits du chanoine J.-B. Laborde et de l’abbé Bonnecaze.
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